Sur une grande plage d'Eburnie,
J'ai découvert la femme de ma vie.
C'est un vaste jardin d’orchidées
Qu’on ne peut nulle part ailleurs rencontrer.
Allumant les étoiles de ses prunelles,
Isabelle et ses jambes qui ensorcèlent,
Avait réveillé tous les regards.
Elle faisait luire sur ses lèvres un cigare
Qui, sans cesse, exaltait sa beauté.
L’air bleu que propageait sa bouche
Aux paysages distribuait la chasteté ;
Car dans son empire rien n'est louche.
Elle est, pour moi, l'unique joyau
Digne d’engloutir la mer de mes maux.
J'ai découvert la femme de ma vie.
C'est un vaste jardin d’orchidées
Qu’on ne peut nulle part ailleurs rencontrer.
Allumant les étoiles de ses prunelles,
Isabelle et ses jambes qui ensorcèlent,
Avait réveillé tous les regards.
Elle faisait luire sur ses lèvres un cigare
Qui, sans cesse, exaltait sa beauté.
L’air bleu que propageait sa bouche
Aux paysages distribuait la chasteté ;
Car dans son empire rien n'est louche.
Elle est, pour moi, l'unique joyau
Digne d’engloutir la mer de mes maux.
Extrait de Tendresse et Passsion, l’anthologie des
plus beaux poèmes d’amour