Et j’irais sur une plage planter mon tableau.
A la fureur, je dévisagerais les ondes
Et sculpterais mon monde.
Ce serait une mer de merveilles
Dont tu serais la lune et moi le soleil.
Et elles s’épieraient comme la mer et le ciel.
La terre ne verrait plus de naufrage
Car il n'y aurait plus d'orage.
Et les étoiles, agenouillées, vanteraient notre beauté !
Et les étoiles, agenouillées, vanteraient notre beauté !
Mais hélas sa majesté! Je ne puis l'imiter.
J'en suis ardemment exaspéré!
Extrait de mon oeuvre poétique L'averse de l'aurore.