samedi 31 août 2013

A CELLE QUI M'A FASCINE

Si j'étais un peintre, je serais Picasso.
Et j’irais sur une plage planter mon tableau.
A la fureur, je dévisagerais les ondes
Et sculpterais  mon monde.  
Ce serait une mer de merveilles
Dont tu serais la lune et moi le soleil.
 De ces majestueuses lampes je ferais  des jumelles. 
Et elles s’épieraient comme la mer et le ciel.
La terre ne verrait plus de naufrage  
Car il n'y aurait plus d'orage.
Et les étoiles, agenouillées, vanteraient notre beauté !
Mais hélas sa majesté! Je ne puis l'imiter.  
J'en suis ardemment exaspéré!

Extrait de mon oeuvre poétique L'averse de l'aurore.

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