J’aime les courbes
noires et poilues qui arpentent
Majestueusement le voisinage de tes prunelles.
Ce sont des
flores féeriques à explorer avec zèle
Malgré l’orage
et la vigueur de leurs pentes.
C’est la marque
divine qui te donne de l’assurance
Et qui
polit ta fière élégance.
Pour mieux déguster les trésors vierges dissimulés,
Ô princesse
du peuple attié!
J’irai,
volontiers, comme un nouveau- né,
La nuque
posée sur tes jambes tendues
Fixer les
étoiles scintillantes de tes yeux nus
Et lisser insatiablement
tes sourcils mystiques,
Sites de
pèlerinage prisés de tous les poètes romantiques !
Anyama, Samedi 02/ 12/2017 02 H 17 MN
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire